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Ces pendentifs présentent les 16 runes de l'alphabet viking, dit Futhark récent, dans leur graphie danoise. Utilisées pour représenter graphiquement et phonétiquement la langue norroise, les runes étaient également employées dans un sens symbolique, à l'image d'idéogrammes, et magique. Aucun bijou n'a été retrouvé à l'image d'une seule rune comme ici, mais de nombreux objets personnels, bijoux ou autres, portent des inscriptions runiques (marques de propriété, formules magiques), jusqu'aux magistrales inscriptions sur les pierres qui tiennent davantage de l'épitaphe.
Des poèmes runiques, dont certains remontent au XIIe siècle, nous ont renseignés sur le sens symbolique que ces signes revêtaient pour leurs utilisateurs. On peut donc les porter en appel pour un concept positif, en protection contre un sens négatif, simplement en sens littéral pour une initiale de prénom, mais toujours en conscience, car ce ne sont pas que de simples lettres, mais bien des symboles chargés énergétiquement.
Toutes nos runes ont des dimensions assez identiques, 20 mm de haut pour 14 de large, avec un anneau de 3.5 mm
Fé transcrit le son /f/ ou /v/ entre deux voyelles.
Son sens symbolique se rattache à la fortune, au cheptel, aux biens matériels.
Fé nous incite à protéger ce qui nous est cher.
Úr transcrit le son /u/, /y/, /o/, /ø/ ou /w/.
Son sens symbolique parle de force physique, de pluie, de violence des éléments naturels.
Úr nous avertit d'un changement brutal.
Þurs transcrit le son /th/ (dur ou doux, comme en anglais), et parfois /d/ ou /z/.
Son sens symbolique évoque les géants, les trolls.
Þurs met en garde contre un désir physique non maîtrisé.
Áss transcrit le son /â/, /ao/ ou /o/ (tardivement, à partir du XIe siècle).
Son sens symbolique évoque la divinité, le dieu Ase, Óðinn.
Áss favorise la connaissance et prévient de se défier de ses excès.
Reið transcrit le son /r/.
Son sens symbolique est lié à la chevauchée, au voyage.
Reið incite au changement, intérieur comme extérieur.
Kaun transcrit le son /k/, /g/, /nk/ et /ng/.
Son sens symbolique évoque la maladie, ou le feu.
Kaun avertit d'un problème à résoudre.
Hagall transcrit le son /h/, parfois /g/.
Son sens symbolique se rattache à la grêle.
Hagall protège et informe de difficultés cachées.
Nauð transcrit le son /n/.
Son sens symbolique évoque la nécessité, le besoin.
Nauð peut apporter le succès par le travail obstiné, mais qui n'est pas sans danger.
Íss transcrit le son /i/, /e/, /è/ parfois /j/.
Son sens symbolique est la glace.
Íss avertit d'un chemin qui semble sûr, d'une opportunité risquée.
Ár transcrit le son /a/, /æ/, /e/, /è/.
Son sens symbolique est la bonne année, la récolte.
Ár annonce la croissance et la fertilité, mais aussi le travail qui vient avec.
Sól transcrit le son /s/.
Son sens symbolique est le soleil et le bouclier étincelant qui nous en protège.
Sól révèle des potentiels enfouis en soi, au prix d'une renaissance, d'un processus auquel Íss et Lögr sont associés.
Týr transcrit le son /t/, /d/, /nt/, /nd/.
Son sens symbolique est le dieu Týr.
Týr incite à la justice, et attire la victoire, pour qui est prêt à en payer le prix.
Bjarkan transcrit le son /b/, /p/, /mb/, /mp/.
Son sens symbolique est le bouleau
Bjarkan aide à voir la beauté au-delà des différences.
Maðr transcrit le son /m/.
Son sens symbolique est lié à l'humain et l'humanité.
Maðr attire l'amitié et protège des influences négatives.
Lögr transcrit le son /l/.
Son sens symbolique évoque l'eau, la mer.
Lögr parle de profondeur intérieure, de toucher le fond pour rebondir, de ressources atteintes dans la mort à soi.
Ýr transcrit le son /R/ (si placé en fin de mot), et /y/ après le XIe siècle.
Son sens symbolique est l'if, l'arc.
Ýr avertit qu'il faut accepter la perte de la flèche pour atteindre la cible.